De la précision des calculs astronomiques des Mayas aux connaissances mathématiques des Sumériens, de l'art graphique, des civilisations sud américaines ou égyptiennes aux capacités architecturales des créateurs de la merveilleuse Teotihuacán, la civilisation moderne reste confrontée à une réalité le plus souvent dérangeante : les civilisations aujourd'hui disparues ont parfois réalisé des tours de force technologiques dont le secret ne nous est pas toujours connu. De suppositions en théories, l'homme a cherché à comprendre. S'il y a parfois réussi, et ce, grâce aux technologies modernes les plus perfectionnées, certaines réalisations, certains récits restent un mystère insurmontable. Dès lors, l'homme moderne a proposé une solution dont la forme varie mais qui reste invariable dans le fond : la religion. Qu'il s'agisse du Dieu catholique pour expliquer certains passages obscurs de la Bible ou de dieux propres à certaines civilisations, la théologie a toujours été le recours du dernier instant. Une autre solution peut cependant être prise en considération : celle d'une présence extraterrestre qui aurait guidé l'être humain dans sa quête d'une vie plus riche, plus simple et plus harmonieuse. Ces "êtres venus du ciel" dont on note la présence dans la culture artistique de diverses ethnies, qu'ils soient sculptés, façonnés, peints ou que l'on relate leurs exploits oralement de génération en génération. Alléchante hypothèse que celle qui permettrait d'expliquer l'épisode biblique des trompettes de Jéricho ou le travail de l'étain par une ethnie bolivienne, alors que l'homme moderne n'en maîtrise la technique que depuis une centaine d'années.
Les Hopis sont la seule tribu indienne à avoir construit leurs habitations en dur. De très vieilles peintures rupestres de cette tribu représentent des êtres aux formes particulièrement curieuses. La légende raconte :
"D'îles en îles, ils allaient en direction de la terre et chaque fois qu'ils quittaient une île, cette dernière sombrait dans la mer. Seuls quelques guerriers Hopis atteignirent la terre ferme mais ils avaient perdu toutes leurs armes. Alors, venant d'un soleil brillant apparurent des êtres étranges qui leurs apportèrent des outils qui étaient meilleurs que tous ceux qu'ils avaient possédés jusque là. Ces êtres étaient différents de ceux de notre monde. Ils avaient une force incroyable et leurs pouvoirs magiques étaient plus forts que le feu et les éclairs". Les Hopis les appelèrent Cachinas. Les Hopis fabriquent encore aujourd'hui des poupées casquées à l'effigie des Cachinas. Ce nom signifie en langage Hopis "personne spirituelle hautement respectable". Toujours d'après la légende, les Cachinas, après avoir aidé la tribu, l'on quittée, non sans avoir promis de revenir. C'est pour que les enfants des Hopis n'aient pas peur quand ces êtres étranges réapparaîtront que les Hopis fabriquent de génération en génération ces poupées à l'effigie des Cachinas.
En Amérique du Sud, au pied de la Cordillère des Andes, se trouve l'Altiplano, un plateau situé à une altitude de 4000 m. Ici, les Indiens racontent encore aujourd'hui : "Il y a très longtemps, le jour où le soleil était au plus haut, arriva du ciel en vol plané une sorte de maison. Elle ressemblait à une barque d'or autour de laquelle il y avait du feu. Il n'y avait pas de nuages dans le ciel et pourtant la terre trembla sous un violent tonnerre. Effrayés, les hommes se couchèrent sur le sol. Seul Actehuma resta debout. Il était le plus courageux et le plus beau. Il vit la sorte de maison en or atterrir sur la surface argentée du lac Titicaca. Et aussitôt, tout bruit cessa. Soudain, Oriana, déesse du ciel, se trouva devant lui. Elle prit Actehuma pour époux et avant de quitter le miroir étincelant du lac pour regagner sa barque d'or, elle lui donna beaucoup d'enfants". Si la culture des Indiens d'Amérique du Sud n'a pas gardé de trace de l'arrivée de ces visiteurs, comme l'ont fait les Hopis, le temps et le bouche à oreille en ont fait des dieux du ciel et de la fécondité.
Au fin fond de la forêt vierge brésilienne, au bord du Rio Fresco habitent les Cayapos. Le fleuve et la jungle forment la frontière de leur monde. Aujourd'hui encore, ils vivent comme leurs ancêtres. Une grande fête rituelle avec danses et chansons célèbre la venue de Beb Cororoti. La légende raconte que "un jour, Beb Cororoti apparut dans le village. Il était vêtu d'une sorte de scaphandre qui le recouvrait des pieds à la tête. A la main, il portait une arme de tonnerre. Certains essayèrent de lutter contre l'intrus mais leurs armes n'étaient pas assez résistantes. Dès qu'ils touchaient aux vêtements de Beb Cororoti, ils étaient réduits en poussière. Le guerrier qui était venu de l'espace ne pouvait s'empêcher de rire de la fragilité de ceux qui le combattaient. Pour montrer sa force, il pointa son arme sur un arbre et le détruisit. Ensuite, il transforma une pierre en poussière. Il vécut une dizaine d'années parmi eux avant de les quitter pour toujours". Il est intéressant de remarquer dans ce récit ancien que le visiteur a d'abord eu une réaction hostile, voire foncièrement méchante envers les Cayapos. Dans la représentation dansée de la scène, une personne est déguisée en Beb Cororoti. Elle porte une parure faite de feuilles de palmier tressées. Sa ressemblance avec le costume de nos astronautes est flagrante et troublante. Même la démarche du danseur rappelle celle de nos astronautes sur la lune. Des photos d'un Cayapos ayant revêtu sa tenue de danse ont été prises en 1952. A cette époque, peu de gens, et à plus forte raison les Cayapos ne connaissaient la combinaison des astronautes américains ou des cosmonautes soviétiques, le premier homme dans l'espace remontant à 1961.
Iles de la Société : la légende du dieu Ari. "Loin derrière nous dans le temps, nous vivions dans une terre triste. Notre peau était plus foncée et la nuit nous changeait en aveugles. Par un jour sombre, le ciel fut éclairé par trois lunes. L'une d'elles se posa sur la montagne et l'obscurité se fit. Les plus courageux de la tribu y trouvèrent au lever du soleil Ari, le fils des dieux. Sa peau était comme l'écume et ses cheveux comme l'or. Sur un bateau rapide comme la flèche, il nous conduisit vers un nouveau pays, dans les îles de fleurs et de chansons". Il est à noter qu'aujourd'hui encore, la caste supérieure des tribus insulaires est convaincue qu'elle descend des dieux.
Les Hopis sont la seule tribu indienne à avoir construit leurs habitations en dur. De très vieilles peintures rupestres de cette tribu représentent des êtres aux formes particulièrement curieuses. La légende raconte :
"D'îles en îles, ils allaient en direction de la terre et chaque fois qu'ils quittaient une île, cette dernière sombrait dans la mer. Seuls quelques guerriers Hopis atteignirent la terre ferme mais ils avaient perdu toutes leurs armes. Alors, venant d'un soleil brillant apparurent des êtres étranges qui leurs apportèrent des outils qui étaient meilleurs que tous ceux qu'ils avaient possédés jusque là. Ces êtres étaient différents de ceux de notre monde. Ils avaient une force incroyable et leurs pouvoirs magiques étaient plus forts que le feu et les éclairs". Les Hopis les appelèrent Cachinas. Les Hopis fabriquent encore aujourd'hui des poupées casquées à l'effigie des Cachinas. Ce nom signifie en langage Hopis "personne spirituelle hautement respectable". Toujours d'après la légende, les Cachinas, après avoir aidé la tribu, l'on quittée, non sans avoir promis de revenir. C'est pour que les enfants des Hopis n'aient pas peur quand ces êtres étranges réapparaîtront que les Hopis fabriquent de génération en génération ces poupées à l'effigie des Cachinas.
En Amérique du Sud, au pied de la Cordillère des Andes, se trouve l'Altiplano, un plateau situé à une altitude de 4000 m. Ici, les Indiens racontent encore aujourd'hui : "Il y a très longtemps, le jour où le soleil était au plus haut, arriva du ciel en vol plané une sorte de maison. Elle ressemblait à une barque d'or autour de laquelle il y avait du feu. Il n'y avait pas de nuages dans le ciel et pourtant la terre trembla sous un violent tonnerre. Effrayés, les hommes se couchèrent sur le sol. Seul Actehuma resta debout. Il était le plus courageux et le plus beau. Il vit la sorte de maison en or atterrir sur la surface argentée du lac Titicaca. Et aussitôt, tout bruit cessa. Soudain, Oriana, déesse du ciel, se trouva devant lui. Elle prit Actehuma pour époux et avant de quitter le miroir étincelant du lac pour regagner sa barque d'or, elle lui donna beaucoup d'enfants". Si la culture des Indiens d'Amérique du Sud n'a pas gardé de trace de l'arrivée de ces visiteurs, comme l'ont fait les Hopis, le temps et le bouche à oreille en ont fait des dieux du ciel et de la fécondité.
Au fin fond de la forêt vierge brésilienne, au bord du Rio Fresco habitent les Cayapos. Le fleuve et la jungle forment la frontière de leur monde. Aujourd'hui encore, ils vivent comme leurs ancêtres. Une grande fête rituelle avec danses et chansons célèbre la venue de Beb Cororoti. La légende raconte que "un jour, Beb Cororoti apparut dans le village. Il était vêtu d'une sorte de scaphandre qui le recouvrait des pieds à la tête. A la main, il portait une arme de tonnerre. Certains essayèrent de lutter contre l'intrus mais leurs armes n'étaient pas assez résistantes. Dès qu'ils touchaient aux vêtements de Beb Cororoti, ils étaient réduits en poussière. Le guerrier qui était venu de l'espace ne pouvait s'empêcher de rire de la fragilité de ceux qui le combattaient. Pour montrer sa force, il pointa son arme sur un arbre et le détruisit. Ensuite, il transforma une pierre en poussière. Il vécut une dizaine d'années parmi eux avant de les quitter pour toujours". Il est intéressant de remarquer dans ce récit ancien que le visiteur a d'abord eu une réaction hostile, voire foncièrement méchante envers les Cayapos. Dans la représentation dansée de la scène, une personne est déguisée en Beb Cororoti. Elle porte une parure faite de feuilles de palmier tressées. Sa ressemblance avec le costume de nos astronautes est flagrante et troublante. Même la démarche du danseur rappelle celle de nos astronautes sur la lune. Des photos d'un Cayapos ayant revêtu sa tenue de danse ont été prises en 1952. A cette époque, peu de gens, et à plus forte raison les Cayapos ne connaissaient la combinaison des astronautes américains ou des cosmonautes soviétiques, le premier homme dans l'espace remontant à 1961.
Iles de la Société : la légende du dieu Ari. "Loin derrière nous dans le temps, nous vivions dans une terre triste. Notre peau était plus foncée et la nuit nous changeait en aveugles. Par un jour sombre, le ciel fut éclairé par trois lunes. L'une d'elles se posa sur la montagne et l'obscurité se fit. Les plus courageux de la tribu y trouvèrent au lever du soleil Ari, le fils des dieux. Sa peau était comme l'écume et ses cheveux comme l'or. Sur un bateau rapide comme la flèche, il nous conduisit vers un nouveau pays, dans les îles de fleurs et de chansons". Il est à noter qu'aujourd'hui encore, la caste supérieure des tribus insulaires est convaincue qu'elle descend des dieux.
Dernière édition par le Lun 20 Aoû - 2:01, édité 1 fois